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Type de textesource
TitreΣτρωματεων τεταρτος
AuteursClément d\'Alexandrie
Date de rédaction180:220
Date de publication originale
Titre traduitLes Stromates, livre IV
Auteurs de la traductionMondésert, Claude
Date de traduction2001
Date d'édition moderne ou de réédition
Editeur moderne
Date de reprint

, [Les femmes aussi bien que les hommes sont capables de perfection], [Poétesses et peintres] (numéro XIX, 122) , p. 260

1 Ἀρήτη δὲ ἡ Ἀριστίππου 〈ἡ〉 Κυρηναϊκὴ τὸν Μητροδίδακτον ἐπικληθέντα ἐπαίδευσεν Ἀρίστιππον. 2 Παρὰ Πλάτωνί τε ἐφιλοσόφουν Λασθένεια ἡ Ἀρκαδία καὶ Ἀξιοθέα ἡ Φλιασία· 3 Ἀσπασίας γὰρ τῆς Μιλησίας, περὶ ἧς καὶ οἱ κωμικοὶ πολλὰ δὴ καταγράφουσιν, Σωκράτης μὲν ἀπέλαυσεν εἰς φιλοσοφίαν, Περικλῆς δὲ εἰς ῥητορικήν. 4  Παραπέμπομαι τοίνυν τὰς ἄλλας διὰ τὸ μῆκος τοῦ λόγου, μήτε τὰς ποιητρίας καταλέγων, Κόρινναν καὶ Τελέσιλλαν Μυῖάν τε καὶ Σαπφώ, ἢ τὰς ζωγράφους, καθάπερ Εἰρήνην τὴν Κρατίνου θυγατέρα καὶ Ἀναξάνδραν τὴν Νεάλκους, ἅς φησι Δίδυμος ἐν Συμποσιακοῖς.

Dans :Femmes peintres(Lien)

(XIX, 122), p. 261

1 Arété de Cyrène, fille d\'Aristippe, fit l\'éducation de son fils Aristippe, qui fut surnommé l\'élève de sa mère. 2 C\'est auprès de Platon qu\'étudiaient la philosophie Lathénéia l\'Arcadienne, Axiothéa de Phlionthe. 3 Aspasie de Milet, sur laquelle les comiques ont beaucoup écrit, fut utile à Socrate pour la philosophie et à Périclès pour la rhétorique. 4 je laisse de côté toutes les autres pour ne point allonger mon discours, n\'énumérant ni les poétesses, les Corinne, Télésilla, Myia et Sappho; ni les peintres, comme Irène la fille de Cratinos et Anoxandra la fille de Néalcès, comme le dit Didyme dans les Symposiaques.